dimanche 30 décembre 2007

Gloire au tourisme parisien.

Si il y a bien une chose que j'affectionne à Paris, ce sont les touristes. On a beau être peu accueillant au premier abord, au fond nos touristes on les apprécie. Après tout une bonne partie de notre capital ne se fait-il pas par le tourisme ? La renommée parisienne se fait avant tout par ces gens venues d'ailleurs.

Il m'est donc arrivé plusieurs fois, au hasard de quelques vagabondages dans certains quartiers, d'en croiser, d'en rencontrer et même d'en renseigner. Je me propose donc de vous peindre en quelques traits, les quelques spécimens qu'il me fut amené à découvrir. Toute généralisation est bien sur à exclure, et je ne prétend pas décrire ici avec une parfaite exactitude le caractère de nos chères touristes ^^ .

Commençons donc notre tour du monde des touristes par un touriste très bien connu de vous : Le touriste français.

On pourrait penser que le touriste français est assez difficile à repérer dans une ville française, mais il en est tout autrement. En effet, le touriste français se présente généralement en famille.

Il y a tout d'abord le père, toujours muni d'une carte de paris, d'un sac à dos, et hyper actif ne recherchant que le coté quantitatif des visites. Il veut faire tous les musées, tous les monuments, toutes les particularités parisiennes en dépit de les apprécier.

Puis la mère qui n'aspire qu'à une chose : ressembler aux parisiennes. Seul l'achat d'un sac à mains typiquement parisien est à même de la satisfaire. Elle apprécie néanmoins souvent les musées comme le Louvre ou Orsay.

Puis les enfants. Généralement une fille et un garçon. Les enfants n'ont rien de particulier, juste une impression d'ennui profond.

Il faut tout de même noter que de tous les touristes, le touriste français est souvent le plus désagréable, le moins poli et au final le moins intéressé par paris.

Après avoir parlé en termes peu flatteur du touriste français, parlons de son meilleur ennemi: l'anglais. Ou plutôt d'anglaises.

C'était un matin vers 8h30 devant mon lycée. J'allais pour rentrer dans l'établissement lorsque deux anglaises d'une cinquantaine d'année m'interpellent. Elles cherchaient un centre de conférences qui m'était totalement inconnu et de surcroît pas dans l'arrondissement. Alors tant bien que mal, armé d'une grande patience, et elles aussi je dois dire, j'ai tenté de les renseigner avec le moins d'approximation possible. Mais parler d'un centre de conférence qui se situe à l'autre bout de Paris et dont personne ne soupçonne l'existence, et tout ça dans un niveau d'anglais approximativement équivalent à celui d'un singe en Ouzbèk, je doute avoir pu leurs être d'une grande utilité.

Néanmoins, je peux saluer la grande patience et la gentillesse de ces dames anglaises, et en règle général reconnaître aux touristes anglais leur amabilité.

Restons dans le monde anglophone en parlant des américains, ou encore une fois, plutôt des américaines.

Plusieurs fois il m'est arrivé de croiser dans un certain bar ^^ , des groupes d'américaines peu farouches. Chantantes, drôles et très intéressées par les coutumes et spécialités françaises, elles sont une vraie aubaine pour l'industrie alimentaire française.

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les américains ne prennent pas tellement d'assaut les Mcdo et compagnie. Non ils aiment plutôt s'attarder dans les bars et les bistrots français. Chose remarquable, les américains sont sans doute les plus motivés pour s'imprégner et vivre comme les parisiens et les français.

Enfin, je finirai cette première liste non exhaustive sur les Italiens.

J'ai rencontré mes premiers Italien au réveillon de l'année 2007, en revenant de chez moogle dans le tramway m'amenant à la porte de versaille.

Un couple d'italien d'une trentaine année. Très chic, très classe. Parlant un français tout à fait acceptable avec un accent chantant du Sud, j'ai rapidement sympathisé avec eux. Il faut bien avouer que l'italienne avait beaucoup de charme ce qui facilite rapidement le contacts :D .

Et donc de la porte de versaille, ils voulaient se rendre à l'étoile pour fêter le jour de l'an. Et par je ne sais quel mauvais hasard, un taxi leur avait conseillé de prendre la ligne 12 jusqu'à concorde, puis la ligne1. Heureusement qu'en bon samaritain que je suis, je leur ai épargné 5 stations de métro, et leur ai surtout fait jouir d'un panorama fabuleux sur une tour Eiffel scintillante, plutôt que de lugubres couloirs de métro. En effet le plus simple étaient bien entendu de prendre la ligne 8 à Balard et de changer à la motte piquet pour prendre la 6, ligne aérienne.

Finalement je les ai accompagné jusqu'au métro, on a discuté un peu de tout et de rien, et ces Italiens m'ont un peu plus conforté dans l'idée que les touristes Italiens sont vraiment des gens charmants, toujours très élégant et très intéressés par nos magnifiques musées ^^ .

J'aurais pu encore vous parler des cars de chinois, des touristes d'Amérique latine, ou encore des diplomates africains au abord de l'UNESCO, mais il n'en sera rien. Peut être une autre fois si le coeur m'en dit.

Sur ce, vivement les suédoises ...

vendredi 28 décembre 2007

Retour aux sources

Alors que je commençais l'ébauche de ce message, je me suis vite rendu compte une fois de plus, que c'était réellement un casse tête que d'écrire. Mon insatisfaction chronique faisant, j'ai donc décidé de reprendre une de mes premières idées amenées sur ce blog : écrire en télégramme ^^ .

27 décembre. Retour Paris. Un train, un livre, un compartiment vide : une jubilation. Tranquillité. Sérénité. Paysage campagnarde. Redécouverte.

En fait, je m'arrête là. C'est presque aussi difficile d'écrire ainsi, étant en permanence à la recherche de vocabulaire adéquate. Finalement l'inspiration vient peut être en écrivant.

Bon en clair, j'ai redécouvert le train hier.

Finis les TGV remplis de gamins qui courent partout. Finis les petits vieux qui parlent super fort demandant constamment si ils sont dans le bon compartiment. Finis le peu de place dans les carrés à 4 en première classe pour cause de fauteuils trop imposant (Snob moi ? Pas le moins du monde ^^ ). Finis les allées et venues incessantes vers la voiture bar.

Je le clame haut et fort :

Vive les trains Corails régionaux.

Alala quelle sensation de liberté et de bien être ils peuvent conférer. Vous savez ces trains aux siéges en cuirs, d'aspect vétuste et démodé que la SNCF s'active à remplacer. Et bien ce sont eux qui vous donnent encore cette impression que le train est un moment de détente, de calme, d'apaisement. N'y a-t-il rien de plus charmant que de lire paisiblement, une oreille à l'écoute de Pink Floyd, et l'autre bercée par le ronronnement du train. Un oeil sur le livre, un autre sur les champs.

La SNCF en martelant médiatiquement que désormais le TGV est une source de repos se fourvoie. Le TGV n'est finalement que le prolongement de notre vie parisienne.

Les nombreuses fois où je dis que pour moi prendre le train c'est comme prendre le métro, que de faire Paris-Marseille me revient à faire Chatelet-Trocadéro, je ne crois pas si bien dire. Les gens sont d'autant plus stressés qu'ils prennent le TGV, tout comme dans le métro.

Même les gares TGV s'apparentent à d'interminables hangars d'humains à l'image de la place carrée des Halles. Il est impossible de prendre son temps avec le TGV. Autant je veux bien être pressé et stressé à Paris, mais à la campagne je refuse.

Désormais, je ne m'arrêterai qu'en gare de Nogent le Rotrou, Surdon, Alençon, Fougère et autres gares indignent d'accueillir le TGV.


dimanche 9 décembre 2007

Il y a des jours ...

Je ne vous connais pas je vous frôle

Là sur le quai épaule contre épaule

Nous jetons en même temps un œil sur

Les quatrièmes de couverture

Delerm serait-il visionnaire ?

Fnac Montparnasse, le 7 décembre. Temps Brumeux. Pluie fine et froide. Et un rayon de soleil. Ou plutôt une petite brunette. Une vingtaine d’années, un long manteau noir et trois livres à la main. Une apparition ? Un songe ? Non une étudiante en droit. Du moins je l’imagine à la vue du code pénal logé sous son bras.

Ne pouvant me satisfaire de cette charmante austérité, j’entrepris de découvrir ses deux autres « précieux ». En l’occurrence je parle des livres, bien que le manteau et la vingtaine d’année fussent tout aussi tentants.

Elle se trouvait juste en face des lettres « B » du rayon « Roman Français ». Pour y avoir passé bien du temps à mes heures beigbédiennes, c’est donc avec une grande assurance que je m’y approche tout en saisissant par hasard un livre de Bernanos : Sous le soleil de Satan. Quel géni insouciant je suis ! A peine avais-je saisi le livre que j’entendis, d’une voix douce et suave, mon inconnue approuver ce choix à quelques centimètres de là.

Il me serait bien difficile de vous réciter son argumentation dans la mesure où j’étais littéralement subjugué et bercé par son timbre de voix d’une harmonie céleste, mais il m’apparaissait qu’en supplément de son charme, elle était cultivée. (Ou alors qu’elle n’était qu’une simple plagiaire du Dernier inventaire avant liquidation de Beigbéder, au quel cas nous aurions eu au moins un point commun.)

Reprenant quelque peu mes esprits, j’hasardais néanmoins un semblant de conversation. Je ne saurais vous expliquer cela, mais j’étais alors dans une sorte de transe intellectuelle passionnelle. Bon ok je grossis un peu le trait de mes pensées, mais l’idée est là. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, le destin fit en sorte d’amener Igor sur mon chemin. Igor : mâchoires carrées, 1m88, 95kg et une petite amie brune au grand manteau noir. Il y a des phrases dans la vie que l’on n’oublie jamais. Pour moi ce sera : « On y va, faut que j’aille acheter des chaussettes ». La chute fut terrible. Et c’est ainsi qu’elle est repartie escorté par son molosse blond, dans les méandres de ma mémoire.

Qui sait sur un malentendu ça aurait pu marcher.

Et dire que j’ai fini par acheter le livre. Il y a des jours comme ça où on se sent con.

vendredi 30 novembre 2007

Récit d'un glandeur alcoolique.

"J’ecris cette fois ci encore une fois sous le coup de l’alcool. Cependant, cette fois ci, j’ai décidé de ne pas utiliser le correcteur d’orthographe. En commencant à ecrire ceci, je me suis dit que ca aller etre qu’un simple running non pas gag, mais message. Mais bon l’envie d’ecrire l’ayant emporté sur la raison, me voici encore une fois à ecrire, ou plutot à tapoter sur un clavier. Parce que oui, il est assez sympathique de voir tant de message par ci par là poster par les blogeurs relatant leurs ecrits sur blog. Mais ceci n’est pas d’une pertinence remarquable puisque concretement ils n’ecrivent pas, mais tapotent tout au plus deux trois touches. L’ecriture est elle alors en pleine decadence, laissant place au pianotage ?

Bon tout ça pour dire que Alan Parsons Project c’est assez jouissif à cette heure ci ainsi que Ange ( voir ci-dessous), a et désormais c’est Jethro Tull .

Qu’est ce que je voulais dire ? Je ne sais plus. Enfin ce qui reflete bien des pertes de memoires chroniques qu’occasionne l’alcool. Il est vrai que sous tout les plans, l’alcool c’est mal. Mais que voulez vous, l’alcool est un vice, et comme dirait les Sex Pistols, etant un anarchiste, je me dois de dire que l’alcool c’est bon. Si vous regardez bien, vous verez beaucoup de pléonasmes dans ces quelques lignes mais aussi de contradiction. En effet ayant un coté Rebel Rebel (dixit David Bowie), je n’ai jamais eté vraiment anarchiste. Et pourtant combien de fois ais je pu refaire le monde par de similaires soirées passées au .. bar. C’est assez impressionnant et dramatique aussi de voir comment l’alcool peut nous faire perdre aussi toutes notions de raison et de principes. J’écris sans même faire attention à la cohérence de mes propos et ceci sans aucune appréhension et sans aucun doute. Ah tient pour faire plaisir à Nerak, Winamp me sort Indochine avec cette si belle chanson qu’est : J’ai demandé à la Lune. C’est bien une de leurs rares chansons que j’apprecie avec tes yeux noirs ? Vous en avez certainement rien à faire mais qu’importe je décuve comme je peux :D.

Et ! Et là je me tourne vers nos littéraires agrées que sont Camille et Anna, ne trouvez vous pas que je fais presque moins de fautes d’orthographe bourré que sobre :D ?

Ceci étant fait, parlons un peu d’un roman qui me tient à cœur : Les trois mousquetaires.

Non en fait, je n’en parlerai pas. Non seulement parce que je n’en ai le courage, mais surtout parce que si j’en parlais à cet instant, je ne ferais que dénaturer ce magnifique Roman historique, épique, passionnant reflétant à la perfection, du moins j’ose le croire, les mœurs d’une époque brassée de gentilshommes et de nobles dames hantant mes plus profondes pensées ? Combien de fois n’ais je pas rêvé et vous aussi je m’en persuade, d’être D’Artagnan.

C’est vrai où est passé cette société où les supers héros se nommaient D’Artagnan ou Zorro et non Spider man ou Superman, c’est hommes génétiquement modifiés par la science. De nos jours, la science a remplacé le genie humain. L’humanisme n’existe plus, nous nous reposons sur la science. Il est vrai que la science est acte même de l’homme, mais le génie humain incarné par d’Artagnan et ses acolytes, ou encore plus récemment Arsène Lupin, reflétait au plus prés l’acte humain, sans outil, sans supercherie, sans artifice. L’homme n’a point besoin de se substituer à des prouesses techniques pour réussir, sa nature le lui permet.

Tout ça pour dire que l’alcool rend dingue et fou, mais j’ai super bien décuvé. Du moins je le crois. Je vais vraiment finir par faire de ce blog un lieu de mes pensées d’alcoolo :s .

Bonne nuit à tous.

PS : Pour faire plaisir à Naie, je n’ai pas utiliser le correcteur une seule fois :D . Enfin pas plus de 3 fois tout au plus :D ."

Paris, le 25/11/07 à 2h14

J’aurais pu laisser ce message tel quel. Ne pas commenter ce qui précède par ce qui va suivre. Mais non seulement par passe temps, mais aussi par intérêt, il m’est apparu intéressant de tenter d’analyser un peu mes propos alcooliques. En effet, j’ai toujours eu cette impression que l’être humain n’était jamais aussi sincère que sous l’effet de l’alcool. Je me fourvoies peut être, mais la société parisienne étant ce qu’elle est, fausse et superficielle, elle a toujours confirmer mes dires. Et oui il m’arrive aussi de critiquer les parisiens ^^ .

Sur ce analysons !!!

Déjà, simplement sur la forme. Ce message s’apparente à une grosse masse de mots, difforme, sans cohérence, sans aucune clarté stylistique. Je n’ai fait aucun effort de présentation, et mes retours à la ligne semblent inexistant. De toute évidence, mon état ne devait pas se soucier de l’esthétique. J’accuse ici ouvertement mon « état », puisque de nature je suis plutôt regardant sur ce genre de questions. Nous passerons outre l’orthographe, elle parle d’elle-même.

Sur le fond maintenant. Les deux premières phrases sont tout à fait à l’image de ma confusion. Je ne sais ni par quoi commencer, ni comment commencer. Je m’embrouille, me répète, et finalement me fatigue. L’idée même d’utiliser le correcteur, qui bien entendu entraînerait une certaine réflexion et par là, un effort, me semble vain. Il va donc de soit que même inconsciemment mon coté glandeur se dessine.

J’enchaîne ensuite par une tentative d’effet comique et une réflexion sans intérêt.

« Mais ceci n’est pas d’une pertinence remarquable puisque concretement ils n’ecrivent pas, mais tapotent tout au plus deux trois touches ». J’ai sans doute voulu faire preuve de finesse et d’esprit ici …

"L’ecriture est elle alors en pleine decadence, laissant place au pianotage ?" Je suis persuadé avoir pensé en faire un sujet de dissertation lorsque j’ai écris ça.

Ma « réflexion » s’arrête alors brutalement, pour laisser place à mon étalage de culture musicale. C’est vrai pensez vous vraiment que trois groupes peu connu du grand public se succèdent ainsi sur ma playlist ? Non comme tout le monde, ce sont les Beatles qui précèdent Queen qui devancent eux-mêmes les Stones. On retrouve ainsi toujours cette volonté de pavaner qui est mienne. (Du reste ces trois groupes restent géniaux :D).

« Qu’est ce que je voulais dire ? Je ne sais plus. Enfin ce qui reflete bien des pertes de memoires chroniques qu’occasionne l’alcool. » Ah enfin une vérité et un semblant de pertinence, mais qui laisse rapidement place à des absurdités placées une fois encore sous ma culture musicale. Bien qu’ayant un coté Rebel, je n’en suis pas pour autant un anarchiste loin de là. Finalement se retrouve ici que du verbiage sans intérêts, sinon de me faire décuver.

Puis une apostrophe. Pourquoi maintenant et pourquoi envers elles ? Je n’en ai pas la moindre idée, mais elle s’inscrit dans la lignée de l’évocation de Karen, sans doute pour me donner l’illusion d’avoir un public et non de divaguer dans le vide. La solitude n’a jamais été mon fort.

« Non en fait, je n’en parlerai pas. Non seulement parce que je n’en ai le courage, mais surtout parce que si j’en parlais à cet instant, je ne ferais que dénaturer ce magnifique Roman historique, épique, passionnant reflétant à la perfection, du moins j’ose le croire, les mœurs d’une époque brassée de gentilshommes et de nobles dames hantant mes plus profondes pensées ? Combien de fois n’ais je pas rêvé et vous aussi je m’en persuade, d’être D’Artagnan. »

Avouant sincèrement ma feignantise dans un premier temps, je me lance pourtant dans une envolée dithyrambique faisant l’éloge de l’œuvre. On peut penser alors que j’accorde plus d’importance à mes opinions et sentiments qu’à ma paresse et ma raison. Finalement un peu à l’image de notre jeune Gascon à son arrivé à Paris, plein de fougue et d’envies.

« C’est vrai où est passé cette société où les supers héros se nommaient D’Artagnan ou Zorro et non Spider man ou Superman, c’est hommes génétiquement modifiés par la science. De nos jours, la science a remplacé le genie humain. L’humanisme n’existe plus, nous nous reposons sur la science. Il est vrai que la science est acte même de l’homme, mais le génie humain incarné par d’Artagnan et ses acolytes, ou encore plus récemment Arsène Lupin, reflétait au plus prés l’acte humain, sans outil, sans supercherie, sans artifice. L’homme n’a point besoin de se substituer à des prouesses techniques pour réussir, sa nature le lui permet. »

En y regardant de plus prés, ce n’est pas totalement dénué de sens ce que j’ai dis là. Fichtre ! J’aurais dû montrer ça plus tôt à mon prof de français. Hier même il nous disait que les héros légendaires avaient disparu. C’est pas faux !

« Tout ça pour dire que l’alcool rend dingue et fou, mais j’ai super bien décuvé. Du moins je le crois. Je vais vraiment finir par faire de ce blog un lieu de mes pensées d’alcoolo :s . »

Finalement, je devrais renommer ce blog : Mémoires d’un glandeur alcoolique.

samedi 24 novembre 2007

Ange

Je n’ai pas l’habitude de faire ça, mais je vais faire un message coup de cœur. Coup de cœur sur un groupe de rock français des années 70. Très peu connu de nos jours, c’était pourtant l’un des groupes les plus connus à l’époque à l’image de leur 6 disques d’or et plus de 3 millions d’albums vendus (merci Wikipedia :D ). Rock progressif il n’en reste pas moins théâtrale et poétique.

A vrai dire je voulais surtout vous mettre les paroles d’introduction de la chanson Hymne à la vie lors d’un concert. Parole à la porté un peu flou pour moi, mais j’espère bien que vous saurez me donner une explication à ces paroles :D . Juste pour replacer dans le contexte, il introduit la dernière chanson du concert. L’hymne étant découpé en trois fois : Le Cantique, La Procession et L’Hymne. Ca fait peur :D non ?

Voici la fin du chapitre, nous sommes prés à mourir,

Pensez y !

Nous sommes là pour ça,

Pensez y !

Mais quel bonheur, quand du fond de vos grands yeux coule un certain miel

Qui n’existe que quand on ne pense pas.

Pensez n’est qu’une humeur que seul l’animal nous laisse.

Et nous sommes prés tous à mourir

Devant le plus grand et le plus beau peloton d’exécution,

J’ai nommé le soleil et les étoiles.

A grands coup de soleil et à grand coup d’étoiles,

Nous pouvons mourir et chanter l’hymne à la vie.

Bon je vous l'accorde ils étaient tous complètement shoutés ça va de soit xD .

Ne pouvant vous laisser sur votre fin, et n’ayant pu trouver l’hymne à la vie sur radioblog, je vous donne tout de même le lien pour les plus curieux, d’une autre chanson : L’Ode à Emile.

samedi 17 novembre 2007

Parce que la sagesse n'est rien sans la folie

J'aurais pu faire un long message plaintif et hargneux. Il n'en sera rien. Mais des penseurs bien plus profond que moi ont su s'exprimer plus simplement et synthétiquement. Donc voici quelques citations à méditer.

C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous. Erasme

Mêle à la sagesse un grain de folie ; il est bon quelquefois d'oublier la sagesse. Horace

Mais sait-on quels sont les sages et quels sont les fous, dans cette vie où la raison devrait souvent s'appeler sottise et la folie s'appeler génie ? Maupassant

La folie est le propre de l'homme. Cendrars

La vraie sagesse est de ne pas sembler sage. Eschyle

La sagesse a ses excés et n'a pas moins besoin de modération que la folie. Montaigne

La sagesse est d'être fou lorsque les circonstances en valent la peine. Cocteau

O le plus fou de tous les hommes, toi qui aspires à la sagesse! Erasme

Chacun, parce qu'il pense, est seul responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c'est-à-dire de sa destinée. Platon

Ceci est un message qui malheuresement n'arrivera jamais à destination voulue. Qu'importe...




mercredi 7 novembre 2007

Récit Alcoolisé

Ceci est mon tout premier message écrit dans un véritable état d'alcoolémie avancée. Enfin tout au moins. Ce message ne vas sans doute rien vouloir dire, mais je m’engage formellement à le publier néanmoins, parce que mine de rien mon alcoolisme est aussi une facette de moi-même. Je ne sais exactement ce que je vais pouvoir y conter, et je le lirai bien assez tôt demain, mais c’est d’une extrême sympathie que d’écrire dans un tel état. C’est fou la facilité avec laquelle les mots viennent. Pas de prise de tête pour savoir si ce qu’on écrit est d’une cohérence digne d’Orwell ou pas, mais tout du moins, je n’ai jamais réussi à écrire avec une telle limpidité.

Tout ça pour quoi ? Je n’en sais trop rien. Je n’ai aucun message à faire passer de particulier, aucune revendication et encore moins de demandes. Quoique ? Et si finalement je ne manifestais pas l’envie d’être libre. Libre c’écrire ce que l’on veut, sans être pris à parti par de mauvaise langue critiquant l’orthographe ou le non sens de mes paroles.

Je ne peux moi-même critiquer ce genre de personne. Pourquoi ? Croiyez vous vraiment que je sois en messire de vous répondre à l’heure actuel ? La sangria ayant un effet néfaste sur moi : s. Ohh un marqueur rose. C’est beau non ? Remarque sans précédent dans l’histoire des blogs. Normal personne n’a encore écrit un « article » bourré. Article qui sera publié en pleine matinée puisque je n’ai pas d’accès internent depuis ce PC. Qu’est ce que je suis barge. Mine de rien j’ai une certaine conscience qui me dit que je ne devrait pas publier un tel monstre. Et pourtant nombre d’entre vous on déjà étaient dans cette état, et la logique fait que nous devons éclaircir le mystère de l’alcool sur la redaction de post une bonne fois pour toute.

Aurais vraiment le courage de publier une telle atrocité ? Je m’en crois réellement capable même sobre.

Après avoir réalisé une ban si demandé par Naie, je me vois cependant dans le besoin d’aller me coucher. Je laisse donc le correcteur d’orthographe finir le travail et jure une nouvelle fois que j’irais publier cette rédaction bien matinale ^^.

Bonne nuit à tous.

PS : Voila 10 min après avoir écrit ceci . J’ai lancé Winamp avce Patrick Pour le fun, et j’ai tenté, avec plutôt une certaine réussite, de travailler un peu sur mon TIPE :D. Bon ok travailler sur le sustentation magnétique à 1h38 du matin n’est pas forcément une bonne chose, mais mine de rien j’ai l’impression de comprendre super bien le sujet,et de sucroit, de fournir un travail bien plus important que naturellement. Est-ce du simplement à Patrick ou bien à l’alcool, j’opteriais plutôt pour la deuxieme solution. Il n’en demeura pas moins que je taffe réelement pour une fois :D. A croire que pour bosser il me faut absolument etre bourré xD. Je ne sais plus ce que j’écris donc je retourne à mon TIPE :p .

dimanche 14 octobre 2007

Testcouleur

Je viens de faire un test à l’instant et j’ai été plutôt bluffé par le résultat semblant conforme à la réalité. Ca me fait d’ailleurs repenser à un très vielle article de Camille sur les couleurs et la personnalité des gens. Ce test est la preuve immédiate que les couleurs reflètent la personnalité.

http://www.testcouleur.com/

Donc pour ma part :

Résultat de votre test :

Vos résultats présentent un produit de corrélation supérieur à 99 % avec notre modèle,
ce qui indiquerait que ces résultats présentent un excellent rendu de vos émotions et qualités du moment.

(De façon générale, un résultat peut être pris en compte si ce produit est supérieur à 30%.)


Pour vous décrire :

Vous êtes extraverti à 54 % et introverti à 46 %.

Sans ordre d'importance,
vous êtes intellectuel et intelligent, vous vous interrogez et vous vous renseignez avant de poser vos actions et vos valeurs.
Vous êtes également ouvert et communicateur, vous savez séduire et entraîner les personnes dans votre direction.
Enfin vous êtes gestionnaire et structurant, vous savez prendre en compte les nécessités de chacun pour les emmener vers les objectifs fixés.

Votre rapport à l'environnement :

D'abord, à 40%, vous êtes centré sur votre pensée, et vos actions sont conditionnées par vos connaissances, votre expérience et votre savoir.

Ensuite, à 30%, vous êtes centré sur les faits et sur la réalité des choses. Vos actions sont attachées aux faits réels.

Enfin, à 28%, vous êtes attaché aux valeurs, aux émotions et aux sentiments, et à votre ressenti affectif de l'environnement.

Vos qualités les plus marquantes en ce moment :
(5 qualités pour former un total de 100%)

A 21 %, vous êtes intellectuel et intelligent, vous vous interrogez et vous vous renseignez avant de poser vos actions et vos valeurs.

À 20 %, vous êtes profond et réfléchi, vous réfléchissez avant d'agir, et vous savez communiquer vos connaissances.

À 19 %, vous êtes charismatique et séducteur, vous savez séduire et entraîner les personnes dans votre direction.

À 19 %, vous êtes dynamique et entraîneur, vous êtes autodéterminé dans vos actions, et vous savez entraîner les groupes de personnes.

À 19 %, vous êtes gestionnaire et structurant, vous savez prendre en compte la nécessité de chacun pour les emmener vers les objectifs fixés.

Enfin, vous êtes dynamique et entraîneur, vous êtes autodéterminé dans vos actions, et vous savez entraîner les groupes de personnes, vous êtes gestionnaire et structurant, vous savez prendre en compte les nécessités de chacun pour les emmener vers les objectifs fixés

Voila j’ai trouvé ça assez en accord avec ma personnalité ^^.

Et si je glandais...

On parle de la dépendance crée par les cigarettes, de la dépendance à l’alcool, de la dépendance aux drogues en général, mais on ne parle pas encore du futur mal de notre ère : la dépendance aux blogs.

Peut être suis-je le seul à ressentir cela, mais j’ai toujours cette impression de devoir fournir un quota de messages sur mon blog. Une obligation de poster, même pour ne rien dire. Est-ce pour matérialiser mon existence aux yeux des gens ou simplement mon coté professionnel ? (Si si je vous assure on dirait pas comme ça, mais je suis très professionnel. Glandeur mais professionnel :p). Je ne sais pas trop, même si j’opterais pour le côté superficiel de ma personne en répondant l’existence.

Il n’en demeure pas moins que en ce moment même, j’écris par principe, avec plaisir toujours, mais par principe avant tout.

D’où ma conclusion parachuté comme ça avec rapidité : faire écrire les gens pour moi :D.

J’avais déjà émis cette idée il y a quelque temps sans donner suite, mais cette fois ci, je le fais officiellement.

En effet, je laisse carte blanche à toute personne désirant écrire un message pour moi sur le sujet de son choix, et m’engage à le publier quoiqu’il advienne. (Sous réserve bien sur qu’il n’offense personne).

Je dois bien avouer que ce n’est pas très lucratif et d’un intérêt minime pour vous, mais bon qui ne tente rien n’a rien.

Et puis comme ça on s’inscrit un peu dans la continuité des blogs avant-gardistes qui ont fait leur apparition récemment bien qu’étant une pure invention de mon imagination à l’instant même. Cherchez l’erreur. Bon personne n’arrive à me suivre tant pis. Je divague mon esprit aussi, mon lit m’appel.

mercredi 3 octobre 2007

Velib ou l'incarnation du parisien.

J’ai toujours revendiqué fortement mon identité parisienne. Souvent affirmé, plus ou moins sérieusement, la supériorité des parisiens. Il va de soit, et j’en suis parfaitement conscient, que cette attitude ne fait que desservir l’image déjà fort mauvaise du parisien en France. Et pourtant, je continue inlassablement ce jeu perfide, aveuglé par l’image du parisien.

Donc tout ça pour en venir au fait : Velib, la nouvelle incarnation du parisien.

A l’âge de 13/14 ans, je ne rêvais que d’une chose : la carte imaginaire. Elle incarnait pour moi l’étudiant parisien. L’étudiant branché, libre de se déplacer comme bon lui semble. Sans contrainte. Pour moi être parisien c’était avant tout ça. La liberté de pouvoir aller n’importe où, de faire tout et rien, juste pour le plaisir d’improviser. D’aller sur les champs, à Montparnasse ou à Notre Dame sur un simple coup de tête. Mais une fois obtenue la fameuse carte, quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’en grande majorité, les « banlieusards » en étaient les principaux utilisateurs. Bien sûr, j’avais toujours cette sensation de supériorité devant les touristes et leurs minces tickets violets, mais mon amertume était grande.

Et puis en cet été hivernal, arriva le Velib, prodigieux concept dont le parisien s’est octroyé assez rapidement l’invention. Il apparaît pourtant que cette idée provient bien de province (mais aurait sans nul doute pu être inventé à Paris :D). Tout ça pour dire, que basé uniquement dans Paris intra-muros, aucun banlieusard n’aurait de réel intérêt de prendre un abonnement. D’où il en découle que désormais, ma carte imaginaire munie de son abonnement Velib, semble être le dernier symbole de l’identité parisienne.

Il est d’ailleurs assez drôle de remarquer (ceci n’est qu’une loi empirique faite par moi-même donc à la fiabilité réduite) que les utilisateurs de Velib sont en général soit de jeunes cadres dynamiques, soit des étudiants, ou accessoirement des mères au foyer entretenues par leur mari.

Ainsi, la folie Velib a complètement envahie Paris, et celui qui n’a pas encore pris son abonnement est soit un has been, soit un non parisien, ou pire encore les deux.

A paris à vélo

On dépasse les autos

A vélo dans paris

On dépasse les taxis…

mardi 18 septembre 2007

Un blog <=> Une personnalité

Bon ok, comme axiome on a vu mieux. Mais ce qui est moins évident, c’est que la forme d’un blog en dit beaucoup plus, que le fond des messages.

En effet, un message personnel n’est pas d’un caractère très objectif. L’auteur raconte ce qu’il a envi de dire. Généralement il se décrit à son avantage, ou du moins sous l’aspect qu’il veut donner de lui-même.

Commençons dés à présent par le blog d’Allam, puisque je commence toujours mon petit tour des blogs par là ^^.

Blog d’Allam : Shkdee, ou comment se prendre la tête sur des questions existentielles. Parce que oui, le but principal de son blog, c’est de faire réfléchir. Mais quand il s’agit de réfléchir, Allam ne réfléchis jamais sur des sujets basiques. Là où certains s’interrogeraient sur le futur vainqueur de la star Ac, Allam lui préfère comprendre l’origine des maths, et si la finalité ultime de l’homme n’est pas simplement de savoir intégrer dans Laplace une équation diophantienne du 6eme degrés Képlérien.

Vous l’aurez compris, Allam est un penseur. Quelqu’un qui aime se prendre la tête. Quelqu’un qui est en perpétuelle interrogation sur son existence. Bref un insatisfait du vivant :D. Mais un insatisfait chaotique. Oui, Allam aime l’instabilité du monde. Il aime le changement, à l’image de son blog aux multiples couleurs qui aléatoirement se chargent.

Conclusion : Allam, ou le philosophe Pien.

Blog de Zaza : Horizon à la verticale, ou le blog d’une moule. Zaza porte bien en effet sont statut de moule ambulante. Avec des nouveaux messages à la régularité effrayante : 1 message toutes les 2 semaines :D, Zaza aime nous faire languir. Parce qu’elle le sait, son blog est l’un des blogs de Pi les plus visité. Et elle en profite.

Pourquoi et comment je sais que c’est le plus visité ? C’est très simple, son carnet d’adresse. C’est elle qui regroupe et stock le plus grand nombre de lien vers d’autres blogs. Son blog est une sorte de passage obligé pour tout glandeur surfant sur la vague blog. Finalement derrière cette image mollassonne, Zaza cache aussi une personnalité qui aime se mettre au devant, qui aime se faire désirer. Elle aime jouer et avoir cette sensation de pouvoir sur les autres. Une sorte d’indispensabilité (joli mot :D ) émane de Zaza. Et dire qu’à chaque fois, on attend pour au final ne rien comprendre à ses messages métaphoriques au possible xD.

Conclusion : Zaza, ou la moule indispensable.

Blog de Fawkes/Camille : L’image de littéraire assidu qui colle au personnage de Camille n’est absolument pas volée. Chaque message semble être pour Camille la simple continuité de ses dissertations scolaires. Toujours soignées, toujours présentés de façon admirable, suivant un plan construit de manière rigoureuse, il semble que le maître mot de Camille en matière de post soit : Jamais moins de 14 pages : D. Il va sans dire que j’ai souvent beaucoup de mal à aller jusqu’au bout et c’est pas faute d’essayer. Et pourtant, c’est sans doute le blog où les messages y sont les plus objectifs, le plus personnel peut être (je ne sais pas je lis pas complètement xD). Le blog qui finalement fait mentir mon étude :p .

Conclusion : Camille, ou la sensibilité littéraire.

Blog de Malixia : Ah! Ah! Sans doute l’un des blogs les plus complexes pour mon étude. Et ne pouvant l’avoir sous les yeux, je ne vais me fier qu’à ma mémoire.

Tout d’abord, il faut bien avouer que l’attention qu’a porté Mali à l’apparence de son blog révèle une personnalité coquette. La couleur rose prédominante ne fait que conforter cette idée. Mali apparaît comme quelqu’un qui aime attirer l’œil, charmer l’œil. Et elle le fait plutôt bien. Son cotée gourmande, à agrémenter ici ou là ses messages de noms de pâtisseries, fait émaner une sensation d’espièglerie chez Mali. Je dois avouer que finalement je n’ai lu que très peu des posts de Mali. Sans doute parce que je ne les comprend jamais, mais je me satisfait toujours des images, de l’apparence et de la sensualité que diffuse ce blog ^^.

Conclusion : Mali, ou le charme espiègle.

PS : En me relisant je me dis que mon coté dragueur est ressorti d’un coup xD.

Blog de Naie : Naie, ou comment vouloir faire connaître son blog :p . En effet, alors que je parlais de mon projet de critiques de blog, Naie me sort insouciamment : « J’espère que tu n’as pas l’url du miens ». Or nous savons tous pertinemment que derrière cette phrase innocente, se cache une réelle volonté de faire découvrir son blog. Ne nous y trompons pas, toute personne recevant un ordre, n’a qu’une chose en tête, le contredire. Sachant cela, il va de soit que Naie savait que j’allais m’empresser de trouver l’adresse de son bien ^^ .

Bon pour en revenir à la critique. Je commence à m’essouffler d’ailleurs là, j’ai du vous perdre en route sans doute. Le syndrome Fawkes s’installe en moi.

Donc oui le blog de Naie. Pour sur, le design y a été soigné. Mais au dépend du côté pratique :s. On pourrait penser au premier abord que son blog étant désordonné, Naie l’est aussi. Mais c’est à si méprendre. Car en effet une fois dans chaque rubrique, notamment celle des liens, tout y est ordonnée d’une façon quasi parfaite.

Conclusion : Naie, ou l’inconstance de l’être.

Blog de Tulbe : Le blog de Tulbe, c’est une image. Une grande image. Une très grande image. Je parle bien sur au sens propre, et non de fait de style littéraire. En effet, la première chose qui vous accueille, c’est une moulin à vent géant multicolore. Alors c’est sympathique, on se sent l’âme d’un Don Quichotte en arrivant dessus, mais on n’a toujours, enfin j’ai, cette impression qu’Internet a encore plantée et s’est figée. Mais heureusement, la vie n’est pas si cruelle. En descendant quelque peu, on tombe enfin sur une trace de vie. Des écrits. Plutôt drôle au demeurant, et toujours joyeux.

Pour résumer, Tulbe aime surprendre par la peur. Au même titre que Mali, elle est joueuse, mais elle joue avec nos nerfs, pour mieux nous détendre par la suite. Et c’est là toute la force de Tulbe, on la déteste puis on l’apprécie encore plus :D. Finalement Tulbe est une grande blageuse :p.

Conclusion : Tulbe, ou l’éternel jovialité.

Bon je pense que j’ai fait le tour à peut prés de tout les blogs que je visionne de temps en temps. En espérant n’avoir choqué personne par mes commentaires. Si c’était le cas je m’en excuse par avance. Sur ce je vais dodoter je commence à fatiguer. Mouarff mine de rien encore une soirée de math en moins xD.

PS : Bon Camille, je sais j’ai sans doute du faire beaucoup de fautes d’orthographes, essaye de ne pas trop t’alarmer tout de même :D.

lundi 27 août 2007

Nouveau dilemme !

C’est fou comme on se laisse vite prendre au jeu. A peine mon premier message posté, je pense au suivant. Suivant qui finalement ne le sera pas (ne cherchez pas à comprendre ma façon de penser, elle est assez complexe). En l’occurrence mon nouveau dilemme ne porte pas sur le fait qu’on est vite atteint par la folie blog, mais sur une question capitale : Dois-je faire circuler ce blog ou le laisser dans le plus complet anonymat ?
Si j’opte pour la première solution, il apparait que je cherche une sorte de reconnaissance. Inconsciemment, voir consciemment, je cherche à me faire un public, des lecteurs assidus me demandant régulièrement le prochain post ? J’imagine déjà une horde de groupies en délire me laissant des commentaires érotico-admiratifs après chacun de mes messages. Bon ok pas très réaliste. Finalement c’est une solution pour flatter un peu plus mon égo.
Inversement, le côté anonyme me protège contre certains « bides » et le lynchage qui peut s’ensuivre.
Je pourrais instaurer une sorte de sondage pour vous demander votre avis. Mais incohérence dans mon système, le coté anonyme serait définitivement perdu.
Je n’aurais jamais cru me torturer autant à cause de questions si futiles en soit.
Et moi qui pensait qu’en écrivant, je répondrais à mes questions !
Allez, après 5 nouvelles minutes de réflexion devant cette page, ce blog va circuler.

De l’inutilité de ce blog.

Me voila donc face à ce blog malgré moi. Et ce blog me prend déjà la tête. Ca fait 5 minutes que je réfléchis à des tournures de phrases, des idées et un plan, juste pour ce premier message. L’avenir s’annonce tranquille pour ce blog, il n’en a pas.
Maintenant, pourquoi je me suis lancé dans ce futile projet ?
Ah oui, juste en passant, et pour faire durer un peu le suspens (et quel suspens !), ce blog sera placé sous mon arrogance et ma vantardise chronique. Finalement, comme beaucoup d’autres, il est l’expression de la frustration et de l’ennuie d’un type parisien détestable. Vous ne pourrez donc pas vous étonner de ça.
Rahh (cris du glandeur en détresse) mais ca n’en finis pas, comment vous amener mon récit sans être ennuyeux (ce qui commence à être le cas), et en étant rapide ? Et si je le faisais en télégramme tiens. Une sorte de retour aux sources en utilisant la technologie. Vachement avant-gardiste comme concept.

Job d’été caisse d’épargne – Stop – Rien à faire – Stop – Glandage – Stop – Création de blog – Stop –

Mine de rien je trouve que c’est assez claire. Rapide précis, pas prise de tête. Finalement pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple. Mouarff (deuxième cris du glandeur) de plus ça m’amène un nouveau sujet : De l’inutilité des nouvelles technologies.