lundi 18 février 2008

Paris je t'aime d'amour

Ô mon Paris, ville idéale
Qu’il faut quitter dès ce soir.
Adieu, ma belle capitale,
Adieu, non, au revoir !

Paris, je t'aime, je t'aime, je t'aime,
Avec ivresse,
Comme une maîtresse.
Tu m'oublieras bien vite et, pourtant,
Mon cœur est tout chaviré en te quittant.
Je peux te dire
Qu’avec ton sourire,
Tu m'as pris l'âme
Ainsi qu'une femme.
Tout en moi est à toi pour toujours.
Paris, je t'aime, oui, d'amour.

Paris, je t'aime, je t'aime, je t'aime je t'aime ; mais voyons,
Puisque j' te dis que je t'aime, allons !
Pour les caresses
De mille maîtresses,
Elles m'oublieront bien vite et pourtant,
Moi, d’ leurs baisers, j' me souviendrai bien longtemps.
L'une après l'une,
La blonde et la brune,
M'ont fait, sans phrase,
Goûter mille extases.
J' te l' jure que j' t'appartiens pour toujours.
Paris, je t'aime - et comment ! - d'amour.

Je n’aurais pas dit mieux.

Et pourtant, j’ai presque peur de dire que ce que je peux ressentir pour Paris, est encore bien au dessus de ça. Je crains de plus en plus mon addiction et les sentiments que je peux avoir envers Paris. J’ai presque l’impression d’être vraiment amoureux de cette ville au sens premier du terme. Et la personnification que je peux faire de Paris m’inquiète de plus en plus. (Il faudrait inventer des cures de désintoxication pour les addictions envers des villes, ça en deviendrait presque dangereux :s.)

Enfin, Paris je t’aime toujours …