dimanche 28 septembre 2008

Détente !

Pour te faire plaisir Adèle, je mets ce blog "à jour" :D .

"Ceci est un Message d'inutilité public"

lundi 14 juillet 2008

25 messages, dernière publication le 21 mai 2008

Devant la demande de certaines, et profitant d'un moment d'ennui Londonien, je vais tenter de les satisfaire, ou non. Et j'aurais plutôt tendance à penser "ou non".
J'aurais en effet pas mal de chose à dire, pas mal de choses à exprimer, seulement je ne suis pas du genre à m'extérioriser facilement. Ou du moins , je le fais rarement. Le fait est que lorsque je commence à déballer tout ce qui peut me peser sur la conscience je ne m'arrête plus et "balance" littéralement tout ce qui peu m'énerver, m'agacer, ou me combler.
Je n'ai aucun contrôle sur moi même dans ce genre de moments, et les conséquences en sont souvent dramatiques pour moi ou pour les autres bien que nécessaires.
Je pourrais aussi vous raconter un peu mon séjour londonien, mais encore une fois, j'aime pas tellement raconter ce que je fais, raconter ma vie. Et puis comme il n'est pas encore terminé, j'omettrais certaines choses :D.
Finalement je me demande pourquoi j'ai un blog alors que le but même de celui ci est de raconter sa vie xD.
Enfin si, il risque de mettre assez utile durant ce mois d'aout, afin d'occuper les nombreuses heures de travail sans travail si j'ose dire. Et pourtant j'ai vraiment hâte d'y être. C'est sans doute un contraste avec mon statut de glandeur, mais la perspective de "bosser" 1 mois en aout m'enchante. Bon ok c'est pas tant le fait de bosser qui m'intéresse, mais plutôt d'être seul chez moi durant 1 mois, complètement indépendant et une grande partie d'amis sur Paris.
Métro, boulot ... impro !

C'est moi ou je viens de raconter ma vie là ? Et merde ...

mercredi 21 mai 2008

Je te taggue, tu me taggues, nous nous tagguons ...

Bon et bien puisque qu’apparemment j’ai été « taggé », notion qui reste assez vague pour moi, il faut si j’ai bien compris que je vous fasse part de 3 plaisirs de ma vie.

Bon et bien commençons par un de mes petits plaisirs que j’ai assouvi ce matin alors, et n’y voyais rien du tout de sous entendu là dedans.

Au commencement était Paris : Me balader tôt le matin dans un Paris gorgé de soleil. Passer par le parc Georges Brassens, redescendre la rue des morillons puis prendre un Velib. Voir s’éveiller les poissonniers, boulangers et charcutiers, et constater que la vie de quartier est bien plus développé à Paris qu’on pourrait le penser.

Dumas n’est jamais loin : S’allonger sur un lit et parcourir 3000 pages de Mousquetaires avec un léger fond sonore en sirotant un verre de coca.

L’avenir appartient aux Spin Doctors : S’accorder un après midi juste pour regarder une énième fois des épisodes de Spin city et admirer la classe, l’entrain, l’intelligence de Michael Flaherty, alias Mickael J. Fox.

Et puis bon comme je suis obligé de tagguer quelqu’un, je taggue Anna ^^ .

mardi 13 mai 2008

Non je n'ai rien oublié ...

Je ne saurais dire si c'est l'approche de la vingtaine, ou peut être la fin de mes années lycées, mais depuis près de 6 mois, une sorte de nostalgie c'est installée en moi. Pour preuve, depuis j'écoute Aznavour. Mais ceci est paradoxal avec ma forte volonté de partir de chez moi, de m'émanciper, de grandir.

Depuis quelques temps, une vague de nouveaux membres nés dans les années 90 est arrivée sur PI. Qu'ils soient de 93, 94, 95 voir 99 comme j'ai pu le voir, je n'ai pas la sensation d'appartenir à leurs générations. Je suis de la génération révolu, de celle qui regardait Dragon Ball Z plutôt que pokémon. De celle qui jouait aux Pogs ou aux Jojos et non aux cartes Yu-Gi-Oh. De celle qui dansait la macarena ou le mia et non la tecktonic. De celle qui a vu la France championne du monde de football... Tous ces points de repères et de comparaisons pourront sans doute paraître pathétiques, et pourtant ce sont mes souvenirs.

Et j'éprouverais presque de la crainte à l'idée de les perdre. A trop vouloir me plonger dans l'avenir j'ai peur de noyer mon passé. De perdre une part de mon identité, de perdre mes racines. J'ai toujours trouvé ça con et has been les gens parlant de leurs racines, et pourtant je les comprend.

Qui m'aurait dit qu'un jour j'en viendrais à regretter le temps passé ? Non pas que je prendrais en pitié ma mélancolie, mais presque.

Finalement, on s'aperçoit bien plus du temps qui passe à la fin d'une année scolaire qu'à la fin d'une année temporelle. Les années ne se terminent pas le 31 décembre, mais le 31 juin.

mercredi 2 avril 2008

Nous sommes en mal d'inspiration.

C'est un fait, les blogs piens ne sont plus aussi fleuris que par le passé. La conjecture est telle qu'aujourd'hui il faut parfois attendre 2 à 3 jours avant de voir pointer un nouveau message sur l'ensemble de la communauté Pienne. Et encore, ce message s'apparente souvent à un simple bouche trou pour combler le vide crée dans l'espace temps.

Je ne peux incriminer personne et ne le souhaite puisque je serais moi même la première personne à blâmer. Je n'écris plus non pas parce que je n'en ai pas envie, mais plutôt parce que je ne trouve pas de sujets suffisamment intéressants pour être exposés.

Je regrette surtout ce temps où les blogs semblaient se répondre. Où l'influence des uns relançait l'intérêt des autres.Où nous voguions vers une perpétuelle évolution, sans jamais sombrer dans un enchainement répétitif d'idées.

Mais cette influence est d'autant plus grande qu'elle admet une réciproque : le silence nourrit le silence. Et c'est bien là tout le drame. Il n'y a pas de blogs compensant le vide laissé par d'autres à quelques trop rares exceptions près.

Mon mal-être est peut être un peu exagéré, voir même inventé. Mais il n'en demeure pas moins que je lance un appel et vous supplie de mettre à jours vos blogs.

Parce que je me languis de vos messages et surtout, surtout ...je m'ennuie...

jeudi 6 mars 2008

J'en aurais presque oublié Paris ...

Oxford. Quatre Jours. Quatre Jours passé loin de Paris et pourtant quatre jours magiques. Presque trop court.

Quatre jours de découvertes architecturales, de mélanges ethniques, d'osmose moderno-ancienne, et de soirées fantasmagoriques.

Lewis Caroll y a écrit son Alice, moi j'y ai trouvé mon pays des merveilles ...

lundi 18 février 2008

Paris je t'aime d'amour

Ô mon Paris, ville idéale
Qu’il faut quitter dès ce soir.
Adieu, ma belle capitale,
Adieu, non, au revoir !

Paris, je t'aime, je t'aime, je t'aime,
Avec ivresse,
Comme une maîtresse.
Tu m'oublieras bien vite et, pourtant,
Mon cœur est tout chaviré en te quittant.
Je peux te dire
Qu’avec ton sourire,
Tu m'as pris l'âme
Ainsi qu'une femme.
Tout en moi est à toi pour toujours.
Paris, je t'aime, oui, d'amour.

Paris, je t'aime, je t'aime, je t'aime je t'aime ; mais voyons,
Puisque j' te dis que je t'aime, allons !
Pour les caresses
De mille maîtresses,
Elles m'oublieront bien vite et pourtant,
Moi, d’ leurs baisers, j' me souviendrai bien longtemps.
L'une après l'une,
La blonde et la brune,
M'ont fait, sans phrase,
Goûter mille extases.
J' te l' jure que j' t'appartiens pour toujours.
Paris, je t'aime - et comment ! - d'amour.

Je n’aurais pas dit mieux.

Et pourtant, j’ai presque peur de dire que ce que je peux ressentir pour Paris, est encore bien au dessus de ça. Je crains de plus en plus mon addiction et les sentiments que je peux avoir envers Paris. J’ai presque l’impression d’être vraiment amoureux de cette ville au sens premier du terme. Et la personnification que je peux faire de Paris m’inquiète de plus en plus. (Il faudrait inventer des cures de désintoxication pour les addictions envers des villes, ça en deviendrait presque dangereux :s.)

Enfin, Paris je t’aime toujours …

mercredi 30 janvier 2008

Petit éloge du lit ...

Ma première intention était de titrer : petit éloge du sommeil. Mais en y réfléchissant vraiment, le sommeil, par sa présence durant notre période d'inconscience, ne nous laisse pas ses petites sensations de bonheurs furtives que peut apporter un lit. Le lit est le meilleur ami de l'homme. L'homme n'est jamais aussi heureux qu'allongé, car il ne fait rien.

Prenons tout d'abord, en toute logique chronologique, la période des premiers contacts avec ce bienfaiteur. Ou plutôt non, prenons l'approche.


Dés l'instant où vous songez à votre coucher, la mécanique se met en route. Vous songez à lui. A elle. A cette couette qui vous réchauffe, vous enveloppe. Vous n'êtes dés lors que le petit enfant, qui réclame la protection et la sécurité parentale. Vous êtes serein et certain de l'invulnérabilité que va vous conférer cette pourtant si frêle protection.

L'excitation s'intensifie à mesure que vous vous préparez. Pyjama ou pas pyjama la question importe peu. Seule une sensation d'aisance et de bien être dans la tenue choisie prévaut.

Mais à mesure que vous vous changez, que les couches de vêtements s'effritent, un léger frisson de fraîcheur vous parcours peu à peu. Laissons le, il n'en sera que plus agréable par la suite.

L'extinction lumineuse marque alors le début du bonheur.

Emmitouflé sous la couette, allongé sur le moelleux du matelas, rares sont les moments journaliers qui peuvent se targuer de procurer une telle bouffée de plaisir. Quelle jouissance que de pouvoir étendre, détendre ses muscles, les étirer de long en large jusqu'à une détente quasi orgasmique. Ne laisser s'échapper aucun morceau de chair du drap. Se sentir recouvrir de la tête aux pieds d'une couche protectrice.

L'imagination est alors placée dans des conditions optimales, nourrissant abondamment les rêves les plus fous.

Et puis partir ...


Il arrive cependant que durant ses vacations imaginatives, nous soyons réveillés par inadvertance, par une quelconque source extérieur. Il est alors tout à fait sympathique de constater qu'il puisse se trouver encore 1 ou 2 heures pour agrémenter un peu plus notre nuit.


Il est donc d'autant plus brutal le matin de devoir non seulement se réveiller et repartir pour une journée de réalité, mais aussi de quitter ce lieu si propice au bien être. Fichu réveil !!!


Et puis il est tellement d'autres choses agréable à faire aussi dans un lit ...


Vivement que je me couche \o/ !!!

lundi 7 janvier 2008

Sympathy for the Devil ...

Finalement je n’en ai pas marre, je suis simplement lunatique.

Je viens d’en faire l’étrange découverte il y a 30 min en rentrant chez moi, à pied.

Ce matin je me lève et je te bouscule, tu ne te réveilles pas comme d’habitude. Non, mais comme d’habitude, j’émerge de mon lit, doucement. Je me glisse péniblement sous la douche. Et je me rendors.

Fichtre j’étais encore de mauvaise humeur, n’ayant aucune envie de retourner en cours et de devoir me lever si tôt. D’ailleurs pourquoi ne pas décréter que la journée commence à 12H. Quitte à je préfère autant travailler de 12h30 à 20H plutôt que de 9h00 à 12h et de 12h à 16h30. Enfin bon c’est un autre problème.

Et me voila donc parti sur le chemin des écoliers, accompagné de mon désespoir et de mon mp3 qui ne m’enfonçait un peu plus vers le tréfonds de mes pensées. Parce que oui écouter du Bryan Adams à 8h00 n’est pas la meilleur chose en soit pour entamer une journée pourvu d’une bonne dose de joie :D .

J’arrive donc, presque défaitiste en cours, n’ayant ni fait mon dm de math, ni fait mes exos de physique et ni appris ma kholle de math. De quoi se réjouir ^^’…

Résultat de la journée ?

Une réussite totale. Là où je suis passé, j’ai vaincu. Modeste de surcroît. Et alors ? :D

Le retour fut un pur moment de jouissance que je ne saurais expliquer. I'm a man of wealth and taste. Finis Bryan Adams, place aux Stones. A déambuler dans la rue, en écoutant Sympathie for the Devil, je me suis sentit grand. J’avais l’impression que rien ne pouvait me résister, que tout m’était possible. Il y a des chansons comme ça qui vous donnent, qui vous communiquent certaines impressions. Les basses, la batterie, le rythme, les paroles, la voix de Mick, tout y est. Plutôt que de partir en vrille sur cette fabuleuse musique je vous laisse plutôt la découvrir, enfin la redécouvrir :D .

Rahhh et puis j’ai plus envie d’écrire. Je vais plutôt aller revoir une énième fois Entretien avec un vampire. Tout ça pour dire qu’hier ça n’allait pas, et qu’aujourd’hui tout vas pour le mieux dans le meilleur des mondes :D .

Qu'en sera-t-il demain ?

vendredi 4 janvier 2008

Je crois que j'en ai marre ...

Je crois que j'en ai marre ...

Marre de tout - marre de ne pas savoir m'exprimer - marre de ne pas me faire comprendre - marre d'être frustré - marre du matin - marre des gens - marre de ne pas savoir ce que je veux - marre de n'être jamais content - marre de déprimer - marre des vélibs cassés - marre de jouer - marre de le prépa - marre d'être dépendant - marre de trop dire ce que je pense - marre de pas dire assez ce que je pense - marre des coiffeurs – marre d'être confus - marre de m'interroger perpétuellement - marre d'être insatisfait - marre de cette nana là - marre de glander - marre d'être incompris - marre des mauvais jours - marre de l'habitude - marre de la monotonie - marre des monologues - marre de ne pas comprendre - marre de me faire peur - marre de mes contradictions - marre de Mike Brant - marre des longues phrases où on aimerait pouvoir réellement dire ce qu'on ressent sans pour autant y arriver - marre de la ponctuation – marre d’être jaloux – marre d’envier les autres - marre de Deep Purple - marre d'espérer - marre des vieux - marre de toujours vouloir contredire - marre des jeunes - marre de tout ça qui ne veut rien dire - marre des marres - marre des mares - marre des mars - marre de n'avoir rien à dire - marre de chercher le regard des autres - marre des « bonnes années » - marre des étrons - marre des poneys du Luxembourg - marre d'avoir tant de choses futiles à dire - marre des questions sans réponse - marre des feuilles blanches - marre des incompétents - marre de mon incompétence - marre du wifi - marre d'être loin - marre de l'ennui - marre de ne pas oser - marre de pas avoir de correcteurs d'orthographe - marre d'avoir l'impression de ne dire que des conneries - marre d'avoir honte - marre de me répéter - marre d'être pathétique - marre d'être ridicule - marre de cette merde - marre de ce point.

0 H 00

Que peut-on offrir à une génération qui a grandi en découvrant que la pluie était du poison et que le sexe menait à la mort ?