Bon tout ça pour dire que Alan Parsons Project c’est assez jouissif à cette heure ci ainsi que Ange ( voir ci-dessous), a et désormais c’est Jethro Tull .
Qu’est ce que je voulais dire ? Je ne sais plus. Enfin ce qui reflete bien des pertes de memoires chroniques qu’occasionne l’alcool. Il est vrai que sous tout les plans, l’alcool c’est mal. Mais que voulez vous, l’alcool est un vice, et comme dirait les Sex Pistols, etant un anarchiste, je me dois de dire que l’alcool c’est bon. Si vous regardez bien, vous verez beaucoup de pléonasmes dans ces quelques lignes mais aussi de contradiction. En effet ayant un coté Rebel Rebel (dixit David Bowie), je n’ai jamais eté vraiment anarchiste. Et pourtant combien de fois ais je pu refaire le monde par de similaires soirées passées au .. bar. C’est assez impressionnant et dramatique aussi de voir comment l’alcool peut nous faire perdre aussi toutes notions de raison et de principes. J’écris sans même faire attention à la cohérence de mes propos et ceci sans aucune appréhension et sans aucun doute. Ah tient pour faire plaisir à Nerak, Winamp me sort Indochine avec cette si belle chanson qu’est : J’ai demandé à la Lune. C’est bien une de leurs rares chansons que j’apprecie avec tes yeux noirs ? Vous en avez certainement rien à faire mais qu’importe je décuve comme je peux :D.
Et ! Et là je me tourne vers nos littéraires agrées que sont Camille et Anna, ne trouvez vous pas que je fais presque moins de fautes d’orthographe bourré que sobre :D ?
Ceci étant fait, parlons un peu d’un roman qui me tient à cœur : Les trois mousquetaires.
Non en fait, je n’en parlerai pas. Non seulement parce que je n’en ai le courage, mais surtout parce que si j’en parlais à cet instant, je ne ferais que dénaturer ce magnifique Roman historique, épique, passionnant reflétant à la perfection, du moins j’ose le croire, les mœurs d’une époque brassée de gentilshommes et de nobles dames hantant mes plus profondes pensées ? Combien de fois n’ais je pas rêvé et vous aussi je m’en persuade, d’être D’Artagnan.
C’est vrai où est passé cette société où les supers héros se nommaient D’Artagnan ou Zorro et non Spider man ou Superman, c’est hommes génétiquement modifiés par la science. De nos jours, la science a remplacé le genie humain. L’humanisme n’existe plus, nous nous reposons sur la science. Il est vrai que la science est acte même de l’homme, mais le génie humain incarné par d’Artagnan et ses acolytes, ou encore plus récemment Arsène Lupin, reflétait au plus prés l’acte humain, sans outil, sans supercherie, sans artifice. L’homme n’a point besoin de se substituer à des prouesses techniques pour réussir, sa nature le lui permet.
Tout ça pour dire que l’alcool rend dingue et fou, mais j’ai super bien décuvé. Du moins je le crois. Je vais vraiment finir par faire de ce blog un lieu de mes pensées d’alcoolo :s .
Bonne nuit à tous.
PS : Pour faire plaisir à Naie, je n’ai pas utiliser le correcteur une seule fois :D . Enfin pas plus de 3 fois tout au plus :D ."
Paris, le 25/11/07 à 2h14
J’aurais pu laisser ce message tel quel. Ne pas commenter ce qui précède par ce qui va suivre. Mais non seulement par passe temps, mais aussi par intérêt, il m’est apparu intéressant de tenter d’analyser un peu mes propos alcooliques. En effet, j’ai toujours eu cette impression que l’être humain n’était jamais aussi sincère que sous l’effet de l’alcool. Je me fourvoies peut être, mais la société parisienne étant ce qu’elle est, fausse et superficielle, elle a toujours confirmer mes dires. Et oui il m’arrive aussi de critiquer les parisiens ^^ .
Sur ce analysons !!!
Déjà, simplement sur la forme. Ce message s’apparente à une grosse masse de mots, difforme, sans cohérence, sans aucune clarté stylistique. Je n’ai fait aucun effort de présentation, et mes retours à la ligne semblent inexistant. De toute évidence, mon état ne devait pas se soucier de l’esthétique. J’accuse ici ouvertement mon « état », puisque de nature je suis plutôt regardant sur ce genre de questions. Nous passerons outre l’orthographe, elle parle d’elle-même.
Sur le fond maintenant. Les deux premières phrases sont tout à fait à l’image de ma confusion. Je ne sais ni par quoi commencer, ni comment commencer. Je m’embrouille, me répète, et finalement me fatigue. L’idée même d’utiliser le correcteur, qui bien entendu entraînerait une certaine réflexion et par là, un effort, me semble vain. Il va donc de soit que même inconsciemment mon coté glandeur se dessine.
J’enchaîne ensuite par une tentative d’effet comique et une réflexion sans intérêt.
« Mais ceci n’est pas d’une pertinence remarquable puisque concretement ils n’ecrivent pas, mais tapotent tout au plus deux trois touches ». J’ai sans doute voulu faire preuve de finesse et d’esprit ici …
"L’ecriture est elle alors en pleine decadence, laissant place au pianotage ?" Je suis persuadé avoir pensé en faire un sujet de dissertation lorsque j’ai écris ça.
Ma « réflexion » s’arrête alors brutalement, pour laisser place à mon étalage de culture musicale. C’est vrai pensez vous vraiment que trois groupes peu connu du grand public se succèdent ainsi sur ma playlist ? Non comme tout le monde, ce sont les Beatles qui précèdent Queen qui devancent eux-mêmes les Stones. On retrouve ainsi toujours cette volonté de pavaner qui est mienne. (Du reste ces trois groupes restent géniaux :D).
« Qu’est ce que je voulais dire ? Je ne sais plus. Enfin ce qui reflete bien des pertes de memoires chroniques qu’occasionne l’alcool. » Ah enfin une vérité et un semblant de pertinence, mais qui laisse rapidement place à des absurdités placées une fois encore sous ma culture musicale. Bien qu’ayant un coté Rebel, je n’en suis pas pour autant un anarchiste loin de là. Finalement se retrouve ici que du verbiage sans intérêts, sinon de me faire décuver.
Puis une apostrophe. Pourquoi maintenant et pourquoi envers elles ? Je n’en ai pas la moindre idée, mais elle s’inscrit dans la lignée de l’évocation de Karen, sans doute pour me donner l’illusion d’avoir un public et non de divaguer dans le vide. La solitude n’a jamais été mon fort.
« Non en fait, je n’en parlerai pas. Non seulement parce que je n’en ai le courage, mais surtout parce que si j’en parlais à cet instant, je ne ferais que dénaturer ce magnifique Roman historique, épique, passionnant reflétant à la perfection, du moins j’ose le croire, les mœurs d’une époque brassée de gentilshommes et de nobles dames hantant mes plus profondes pensées ? Combien de fois n’ais je pas rêvé et vous aussi je m’en persuade, d’être D’Artagnan. »
Avouant sincèrement ma feignantise dans un premier temps, je me lance pourtant dans une envolée dithyrambique faisant l’éloge de l’œuvre. On peut penser alors que j’accorde plus d’importance à mes opinions et sentiments qu’à ma paresse et ma raison. Finalement un peu à l’image de notre jeune Gascon à son arrivé à Paris, plein de fougue et d’envies.
« C’est vrai où est passé cette société où les supers héros se nommaient D’Artagnan ou Zorro et non Spider man ou Superman, c’est hommes génétiquement modifiés par la science. De nos jours, la science a remplacé le genie humain. L’humanisme n’existe plus, nous nous reposons sur la science. Il est vrai que la science est acte même de l’homme, mais le génie humain incarné par d’Artagnan et ses acolytes, ou encore plus récemment Arsène Lupin, reflétait au plus prés l’acte humain, sans outil, sans supercherie, sans artifice. L’homme n’a point besoin de se substituer à des prouesses techniques pour réussir, sa nature le lui permet. »
En y regardant de plus prés, ce n’est pas totalement dénué de sens ce que j’ai dis là. Fichtre ! J’aurais dû montrer ça plus tôt à mon prof de français. Hier même il nous disait que les héros légendaires avaient disparu. C’est pas faux !
« Tout ça pour dire que l’alcool rend dingue et fou, mais j’ai super bien décuvé. Du moins je le crois. Je vais vraiment finir par faire de ce blog un lieu de mes pensées d’alcoolo :s . »
Finalement, je devrais renommer ce blog : Mémoires d’un glandeur alcoolique.